Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

lundi 3 octobre 2016

Maitresse du plaisir


Madame dit toujours qu’une Gouvernante a tous les droits sur le corps de son chenapan. C'est vrai. C'est en exerçant ce pouvoir qu'elle affirme son autorité. Elle peut punir, déshabiller ou au contraire imposer des tenues selon son bon plaisir. Par exemple Madame exige que je sois en permanence jambes nues pour que je n'oublie jamais que je ne suis à ses yeux qu'un gamin immature encore soumis aux châtiments corporels. Selon ses désirs du moment, je peux être mis en slip ou tout nu. Parfois même elle me fait mettre en jupe si je me suis conduit en petit coq prétentieux. Une fois, j'ai même été mis au lit l'après midi en couche-culotte pour lui avoir mal répondu.  
Bref Madame a tous les droits sur le corps de son chenapan. Mais ce dont j'ai rarement parlé c'est quand ce pouvoir s'exerce sur le plus intime de moi-même : mon plaisir.

Madame veut dominer mon plaisir, le contrôler. Elle prend le pouvoir sur mon plaisir. Elle sait le faire naître en connaissant par cœur mes réactions. Je prends l'exemple du "supplice des tétons". Madame sait très bien jouer avec mes petites pointes. Elle adore ça. Pour une faute bénigne, elle peut les pincer a travers mes vêtements, les tirer comme on tire l'oreille d'un vilain garnement qu'on conduit au coin. Souvent le "traitement" des tétons se fait avec plus de raffinement. Je dois me  mettre "à bonne hauteur" c'est à dire à genoux à ses pieds, relever mon polo pour mettre mes tétons à nu, mettre les mains sur la tête pour m'offrir pleinement sans résistance. Madame sait faire durcir mes petites pointes, elle les caresse, les fait tourner, les tiraille.... Quand elle sent que le plaisir commence à s'installer au fond de mon ventre, elle se fait plus cruelle et me les pince, les allonge... Elle sait que plus bas, dans mon ventre, mon sexe se ramollit, le plaisir laisse la place à une douleur ambigüe. Elle alterne alors. Se fait à nouveau plus douce jusqu'à ce que le plaisir me fasse durcir les tétons et ... le sexe. Alors pour bien montrer qu'elle est la maîtresse de mon plaisir, elle les pince, les tourne, les allonge pour que la douleur me fasse ramollir. Elle joue ainsi jusqu'à ce que le jeu la lasse. Pas question pour moi de jouir. Très souvent je porte cette cage de chasteté qui bride mon érection et qui me rend dépendant du bon vouloir de Madame qui en détient la clef. D'ailleurs, même si je ne suis pas encagé, je dois porter en permanence l'anneau qui permet de la fixer en quelques minutes. Pas question d'oublier un seul instant ma condition.

La cage de chasteté est le moyen de ma Gouvernante pour dominer mon plaisir. Si j'ai eu la mauvaise idée de me donner du plaisir sans autorisation, Madame me met en cage jusqu'à ce qu'elle daigne me libérer. Je suis dépendant de son bon vouloir. Elle règne sur mon plaisir bridé. C'est ainsi qu'elle accroit son autorité. Je suis alors prêt à toutes les soumissions pour obtenir le droit de jouir. Je deviens plus obéissant encore pour être enfin récompensé par le droit de jouir. La main-mise sur mon plaisir est un moyen encore plus efficace et puissant que les punitions pour me rendre plus soumis. Ainsi elle adore me faire mettre sous ses jupes, "en adoration" comme elle dit. Elle regarde la télé et moi je dois fouiner mon visage entre ses cuisses, le nez posé sur sa culotte "au bon endroit"  Elle sait que cela m'excite, que j'adore son odeur. Je n'ai rien le droit de faire d'autre que de respirer Madame et d'avoir une érection bridée par la cage de chasteté. Parfois mon sexe reste libre, le gland à vif étranglé par ma bague de soumis, et se dresse en vain quémandant des caresses dont je suis privé.  Par contre dès qu'elle en ressent le désir, je dois m'appliquer à lui donner un plaisir raffiné.

Même à distance, Madame contrôle tout, la tenue, mais aussi mon plaisir. Gare à moi si je dois lui confesser que je n'ai pas pu résister à l'envie de me caresser ! Gare à moi également si je lui ai caché la vérité. Le mensonge à Madame est la faute la plus grave punie d'un châtiment tellement humiliant que je préfère ne pas l'évoquer. La sanction prévue par le règlement pour s'être caressé sans autorisation est le port de la cage de chasteté pendant un temps déterminé. Madame aime jouer avec ce pouvoir. Il lui arrive de m'imposer ce qu'elle appelle les "bains d'eau glacée". Souffler le chaud et le froid en m'obligeant à me caresser devant elle, mais de stopper brutalement au moment de la montée de ma jouissance en m'imposant de tremper mon sexe en érection dans un grand verre d'eau avec des glaçons jusqu'à ce que mon pénis rétrécisse et devienne ce qu'elle appelle avec moquerie "un petit robinet de chenapan" . Puis quand mon sexe est en piteux état, elle s'active à lui redonner vigueur et m'oblige à me caresser, mais sans avoir l'autorisation de jouir. Alternance de plaisir et de frustrations.... Si Madame est satisfaite et que j'ai su implorer avec suffisamment d'humilité elle peut m'autoriser à me "soulager". C'est la récompense d'un travail bien fait, d'un massage appliqué, d'un service impeccable. L'autorisation de jouir peut se réaliser en privé : "file dans ta chambre petit vicieux. Tu as cinq minutes pour te soulager." Elle m'a déjà obligé à me caresser devant elle en position gynécologique dans un fauteuil, les cuisses ouvertes passées derrière les accoudoirs ou accroupi (voir le Manuel d'Education des Garçons écrit par Madame). Plus rare, mais assez humiliant, elle me vide elle-même (expression volontairement avilissante) dans un kleenex moi debout les mains sur la tête.

Parfois elle préfère maintenir la pression et me brimer en refusant net toute libération de mon plaisir. Madame est toujours imprévisible. Je me retrouve encagé, ou obligé de faire des tâches ménagères en bouillant de frustration.

Oui Madame est aussi la maîtresse de mon plaisir. Elle sait qu'un chenapan en frustration sera d'autant plus soumis qu'on lui aura promis une jouissance en récompense d'une conduite exemplaire. Mais ce n'est pas toujours le cas. Madame reste toujours la maîtresse de mon plaisir... pour son plus grand plaisir !



8 commentaires:

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    1. oui toujours, que ne ferai je pas pour mon chenapan!! mdrr!

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  2. super ce texte que de complicité entre vous ca fait plaisir a voir enfin a lire ^^

    gros bisous a vous deux

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    1. Merci ma belle! et oui notre complicité est de plus en plus présente et se ressent dans nos récits!!

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  3. Merci Lady Dark. Il est vrai que ma complicite avec Madame s'est affinée avec le temps. Nous expérimentaons sans cesse de nouvelles sensations pour notre plus grand plaisir. J'espere qu'elle ne s'en lassera pas.

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    1. me lasser?? de tes petites fesses?? impossible!! surtout quand elles sont rouges et que tu es au coin!! un pur régal!! bisous mon chenapan!

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    2. je reconnais que des fesses de chanapans bien cramoisies c'est toujours superbes , tant que c'est pas les miennes bien sur lol

      content que votre jeu se passe super bien et tres heureux de voir une telle complicité

      VG

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  4. Madame est tout simplement une sadique. faut appeller un chat, un chat.

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