Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

dimanche 12 juin 2016

La vie dans le pensionnat .. 26ème et dernier épisode !


L’évêque continue à jouer avec les télécommandes pendant que toutes les filles sont passées sauf 5, les cinq coupines. Ayant été fessées à la main, elles ont décidé de la fesser à la main et ainsi bien lui faire sentir ces dernières claques et la chaleur qui ressort de cette fessée. Il est décidé que c’est Chipinette qui passera la dernière et Lilou la première.

Lilou s’approche et passe une main sur les fesses chaudes de la mère en disant :

-      Oh mais les filles ont été généreuses, les fesses sont bien chaudes, mais touchez Monseigneur, elles sont brulantes, elle a le feu aux fesses

-      Oh mais c’est vrai Lilou, dit l’évêque qui a osé toucher les fesses de la mère pour juste vérifier les dires de Lilou.

-      Oh mais elle est mouillée, notre petite mère, quelle coquine quand même, dit elle en mettant sa main sur sa vulve encagée, elle tire sur la cordelette de l’œuf, elle le sent vibrer. Vous devriez augmenter Monseigneur, puis baisser, joué au yoyo, elle est prête à exploser.

-      Vous croyez ?

-      Oh oui, faites moi confiance, je suis une habituée de la chose, dit Lilou en riant.

L’évêque obéit à notre spécialiste. Et Lilou se place derrière et claque d’une main ferme le derrière de la mère, malgré la rougeur on voit la trace de sa main se dessiner. Elle semble être satisfaite et reprend de plus belle pour les 4 suivantes. Lady passe à son tour mais elle n’est pas très hardie à faire cela et s’excuse de ne pas avoir tapé assez fort mais elle ne sait pas le faire. L’évêque lui sourit et comprend très bien. Puis Aline ne se gène pas pour claquer fort et arrive le tour de Hélène, elle regarde ce fessier en feu avec un sourire sadique.

-      Je pense qu’il faudrait refroidir ces fesses Monseigneur, quelques petits glaçons lui feraient le plus grand bien.

-      Ah bon ? on peut faire cela, dit l’évêque

-      Mais bien sur, et ensuite 5 claques mouillées, cela va lui faire le plus grand bien.

On prend des glaçons que l’on place dans une serviette pour ne pas la bruler et Hélène lui passe sur les fesses, effet kisscool, ça refroidit puis cela recommence à bruler sous le froid trop intense, la mère ne sait plus si elle doit crier, hurler, elle s’y est refusée jusqu’à maintenant mais elle sent qu’elle va craquer. Puis Hélène lui claque les fesses bien mouillées. Chipinette met les télécommandes à fond, et la mère a le souffle coupé, elle gémit, se tortille, supplie qu’on l’achève, puis hurle sa jouissance, elle se trémousse sur le banc, elle sent que son cœur va s’arrêter. Jamais elle n’avait connu un tel orgasme et pourtant Père Educateur est un expert. Puis son corps se ramollit et retombe sur le banc à fessées. Puis soudain elle repense à Chipinette, elle ne l’a pas fessée elle. Elle est surprise. Que manigance t elle ?

Et oui que manigance notre Chipinette ? Avec elle, il faut s’attendre à tout. Elle parle tout bas dans l’oreille de l’évêque qui ouvre de grands yeux. Le pauvre, son éducation sur ce petit monde de la fessée, s’est élargie. Il lui dit oui et Chipinette sort dans le jardin. Elle revient avec des feuilles à la main mais ce sont des orties, et oui quand je vous disais qu’elle était perverse cette élève.

Elle tient dans une main des orties toutes fraiches qu’elle a pris soin de cueillir avec un gant et de l’autre main, elle tient un couteau et quelque chose d’une forme bizarre. Elle pose les orties au sol devant les yeux de la mère qui se raidit et elle va s’accroupir devant elle avec le couteau et le gingembre.

-      Vous n’allez pas la laisser faire Monseigneur, dit-elle

-      Ben écoutez, je ne sais pas ce que c’est et elle m’a dit que vous aimeriez, donc je la crois.

-      Mais c’est machiavélique, elle est sadique cette fille, c’est le diable en personne.

-      Ma sœur, cela suffit, retenez-vous ou je vous bâillonne.

-      Mais c’est pervers de me faire cela, continue t-elle en regardant droit dans les yeux de Chipinette, vous allez poser cela immédiatement.

-      Mais vous semblez connaitre ma mère ? dit elle avec un sourire jusqu’aux oreilles.

-      Euhhh mais non mais juste lu un truc la dessus.

-      Svp, elle me déconcentre Monseigneur, dit Chipinette avec une petite moue pouvant tromper le pauvre évêque

-      Bâillonnez là petit coquin, Chipinette a besoin de calme pour la fin de sa punition

Il s’empresse de le faire mais elle ne se laisse pas faire et une religieuse a du lui tenir la tête. Chipinette coupe en forme de gros suppositoire le gingembre. Elle va ensuite demander les clés de la culotte de chasteté de la mère au père. Il lui fait signe qu’elle est dans sa poche de veste, elle la prend et retourne vers la mère. Elle se baisse pour retirer le cadenas pendant que la mère essaie de crier mais avec le bâillon, on entend un mmmmmm. Elle retire la culotte, met un gant et passe sa main dans le sexe de la religieuse très excitée. Chipinette se moque d’elle en disant qu’elle prend son pied avec cette fessée. Elle ne la loupe pas dans l’humiliation. Elle se venge, même si la vengeance est un vilain défaut. Elle retire doucement mais alors tout doucement les objets qui vibrent encore à fond en commençant par celui du vagin puis celui de l’anus. Elle se redresse et explique les bienfaits du gingembre et ce que cela va provoquer chez la mère supérieure. Ce sera la punition suprême. Chipinette se met bien sur le coté, prend deux cordelettes, attrape un genou de la mère, l’écarte bien et l’attache puis en fait autant avec l’autre. Chipinette la veut les cuisses bien écartées pour ainsi positionner le gingembre dans ses orifices. La mère essaie de se débattre mais elle est complètement bloquée. Chipinette passe une main entre les cuisses de la mère, elle la caresse avec le morceau de gingembre. Elle passe sur les petites lèvres puis la pénètre légèrement dans le vagin puis l’enfonce plus profondément. Elle prend les orties et lui donne 2 coups bien secs sur les fesses. Elle retourne chercher le gingembre et l’enfonce ensuite dans l’anus. La mère sert des fesses mais le suppo de gingembre mouillé par le vagin, rentre sans difficulté. Chipinette reprend les orties et donne les 3 derniers coups, un sur les fesses, et un sur chaque cuisse, intérieur et extérieur. Entre le feu à l’intérieur de ses orifices par le gingembre et la piqure des orties. La mère se débat. Chipinette retire le gingembre et prend l’œuf et le place sur le clitoris de la mère qui en quelques secondes décolle de la terre pour rejoindre la planète mars.

Le père bave devant sa partenaire et gémit de frustration. Son sexe est très serré dans sa cage. Quand Chipinette rend l’œuf à l’évêque, les élèves et les religieuses applaudissent les 5 coupines pour le spectacle qu’elles ont donné à cette assemblée, celle de la mère qui a les fesses en feu, rouges pleines de boutons d’orties.

-      Mesdemoiselles, vous allez pouvoir retourner dans votre chambre et en silence, dit Monseigneur, vous ne retrouverez plus ces deux personnes demain matin, on vient les chercher cette nuit pour les emmener dans leur couvent et monastère respectifs. Pour vous petit coquin, vous viendrez avec moi et je vous confierai à un prêtre de paroisse. La semaine prochaine une nouvelle mère supérieure arrivera et en attendant Sœur Mary va assurer l’intérim. Elle est sévère mais juste et je suis sure que ce lycée va retrouver sa joie de vivre et un esprit studieux.

Tout le monde se dirigea en silence vers les dortoirs. On entendra parler longtemps de cette nuit les années suivantes. On apprit que la mère et le père s’étaient enfuis pour se retrouver sur une ile déserte et continuer leurs jeux. Petit coquin ne rentra pas dans les ordres et retrouva sa petite religieuse dont il était amoureux. Et nos 5 chipies ont fini leurs études dans ce lycée très spécial et obtenu toutes les 5 les diplômes. Elles ont toutes les 5 rencontrées des hommes qui sont fesseurs et qui ont fortes affaires avec ses chipies là. On entend souvent claquer dans les chaumières quand on s’approche de près. 


4 commentaires:

  1. Quel festin! Les orties, le gingembre, l'oeuf... Un vrai plat bien relevé pour gourmets et gourmettes ! Super saga, Chipinett!
    On attend maintenant "La vie dans l'île déserte"... j'imagine bien la mère-Robinson et le père-Vendredi aux prises avec les sauvages fouetteurs de ces contrées lointaines... Mais ceci est une autre histoire, n'est-ce pas? :D

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  2. mmmmm ce serait effectivement une excellente suite mais je vais la laisser à quelqu'un d'autres!! merci à toi Max!

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  3. superbe fin je viens enfin de le finir j'avais de la lecture en retard dit donc lol
    Fiere des 5 coupines qui ont su donner a leur boureau la monnaie de leur piece ^^ surtout Chipinette

    Felicitation a toi pour se superbe recit qui mériterait bien une publication format livre ^^

    gros bisous a toi et j'aime toujours autant lire tes recits

    Lady dark

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  4. merci ma belle, la fin est à la hauteur des personnes qui m'ont servies dans mon récit!! bisous

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