La vie dans le pensionnat ... 23ème épisode

Chipinette passe la matinée au coin comme ordonné par le père. Ses fesses sont bien rouges mais blanchissent progressivement au cours de la matinée. Les élèves l’observent et se demandent bien qu’elle va être sa vengeance. Et cela cogite fort dans la tête de Chipinette. Elle espère de tout son cœur que l’Evêque va se déplacer au pensionnat ce soir, qu’il ne croira pas à une mauvaise blague d’élèves. Elle aimerait tant pouvoir les attacher tous les deux sur ces grandes croix et que chaque élève puisse leur claquer les fesses et qu’elles deviennent rouges carmin. Elle est dans ses pensées quand soudain elle entend la cloche sonner. Enfin libérée. Elle attend que la religieuse fasse sortir les autres élèves pour se retourner et qu’elle lui donne l’autorisation, ce qui est fait immédiatement.

Elle se reculotte puis va rejoindre ses coupines.

• Mais quel sadique ce Père, tu as vu comment il a fait pour faire le contrôle, un petit doigt pour ci, un autre par là, juste pour le plaisir de toucher nos foufounes, dit Lady
• Ne dis pas que tu n’as pas aimé Lady, dit Hélène
• Cela ne se fait pas, dit-elle
• Moi j’aurais aimé que cela dure plus longtemps, dit la coquine Lilou

Chipinette éclate de rire et leur dit :

• Allez les filles, bientôt l’heure de la vengeance, que j’aimerais que l’on me les laisse une heure, une toute petite heure, et que je puisse me venger
• On pourrait venir avec toi ? dit Hélène 
• Mais bien sur, vous êtes les bienvenues
• Moi je masturberais le père et au moment où il a envie de jouir, j’arrêterais et j’exigerais qu’il me le demande gentiment et poliment. Je suis sure qu’il aimerait, dit Lilou
• Et moi la mère je lui mettrais le crincrin et je la fesserais aussi, dit Hélène
• Mais vous êtes pires que les deux réunis !!voyons, ils font cela pour notre bien, rit Chipinette
• Bon c’est quoi ta vengeance exactement, demande Lilou
• Je ne sais pas, j’espère juste que l’évêque vienne et lui seul décidera de ce qu’il va faire de ces deux sadiques
• Bon attendons ce soir et en attendant, tiens toi à carreaux Chipinette car là tu l’as bien provoqué, lui dit Hélène
• Normal, il réagit au quart de tour, c’est un vrai bonheur de l’asticoter un peu et moi si vous saviez comme j’aime !!
• Oui ça on le sait, dit lady

La journée passe, les deux religieux préparent leur soirée et s’émoustillent tous les deux jusqu’à ce que la mère sup se retrouve de nouveau sur les genoux du père et se fasse rougir le postérieur avec l’œuf vibrant en action. Heureusement que les murs des bâtiments sont épais car on en entendrait des drôles de bruits.

Pendant ce temps, Chipinette et ses copines prient pour que vienne leur invité. Puis arrive le soir, un message passe dans les haut-parleurs et invitent toutes les élèves et religieuses de se diriger vers le donjon et Chipinette est attendu au bureau de la mère supérieure. Il est convenu qu’Hélène et Lilou fassent le guet pour attendre l’évêque.

Chipinette se rend dans le bureau administratif où l’attendent les deux religieux.

• Alors miss Chipinette, on fait moins la maligne maintenant, dit le père
• Je n’ai jamais fait la maligne mon père, répond-elle
• Mais quelle insolence ! vous êtes prête à recevoir une punition magistrale et vous osez encore me répondre ?
• Vous savez, une fessée de plus ou de moins, j’aurais les fesses bien rouges mais demain cela aura disparu

Le père devient rouge comme une pivoine, prêt à exploser quand la mère lui pose une main sur le bras et passe devant lui et dit :

• Toujours dans la provocation Chipinette, je vous promets que ce soir sera une soirée que vous n’oublierez jamais de votre vie. Nous allons déjà commencer ici et vous arriverez ainsi les fesses rouges dans le donjon

Zut Chipinette n’avait pas prévu cela, elle allait devoir supporter cette épreuve loin de ses coupines.

La mère supérieure fait un signe au père de s’assoir sur la chaise et qu’il se calme. Elle prend la main de Chipinette, elle se doute qu’elle n’ira pas seule sur les genoux du père juste par pure provocation. Elle l’emmène vers le père et tend sa main au père qui la saisit. Chipinette résiste mais pas très longtemps face à la force tranquille du père Educateur. Il la tire et la bascule sur ses genoux. Il passe son bras gauche autour de son corps pour la bloquer et pose sa main droite sur ses fesses et lui dit :

• Alors Chipinette, on ne fait plus la maline là ? vous savez que vous allez recevoir une fessée et ainsi arriver les fesses bien rouges au donjon où votre public vous attend avec impatience. Elles se réjouissent d’avance du spectacle que vous allez leur offrir.
• Ne me dites pas qu’elles aimeraient être à ma place mon père, je ne vous croirais pas
• Vous avez vu ma mère, même dans cette position, elle se permet d’être insolente. Vous êtes incroyable quand même. Je vais vous expliquer un peu ce qui vous attend dans le donjon. Tout d’abord, vous arriverez les mains sur la tête, vêtue de votre chemise de nuit, qui est ici. Voici une pince à linge qui servira à tenir votre chemise relevée derrière pour que l’on puisse bien voir vos fesses rouges. Et à la fin de la fessée de maintenant, je vous placerai un rosebud dans l’anus que vous ferez admirer à tout le monde. Ça, ce sont les préliminaires en arrivant au donjon. Pour ce qu’il va se passer au donjon maintenant, vous serez attachée en premier sur la croix, vous recevrez une fessée avec la main pour vous réchauffer les fesses, puis nous passerons aux choses sérieuses avec différents instruments comme le martinet, le fouet, etc… ensuite vous serez placée sur le banc à fessées et je vous placerai un god et plug vibrant dans vos orifices et vous jouirez devant tout votre public en étant fessée sévèrement par la mère supérieure et moi je m’occuperais de votre clitoris avec un crincrin très efficace. Après cette punition, je pense que nous devrions être tranquilles pour un bon moment avec vous et vous nous mangerez dans la main. Mais vous serez fessée tous les soirs dans mon bureau pour que vous n’oubliiez jamais ce qu’il pourrait vous arriver en cas de récidive. Vous allez devenir un parfait petit agneau comme je les aime.
• Avez-vous quelque chose à rajouter, demande la mère supérieure qui jubile du spectacle de tout à l’heure
• Euhh ai-je mon mot à dire ? car si je vous dis que je ne suis pas d’accord, vous vous en moquez, je suppose ?
• Absolument, tout se passera comme je viens de vous l’expliquer, lui dit le père
• Nous verrons bien si vous arrivez à me faire cela, les provoque Chipinette
• Inutile de nous provoquer, vous avez gagné le gros lot.

Pendant tout le temps qu’à durer les explications, le père passait doucement sa main sur les fesses de Chipinette, les cuisses et relevait la jupe pour toucher sa douce peau. Il replaça la jupe, leva la main et la laissa tomber sa main ni trop fort, ni trop faible. Une bonne claque qui résonne et qui pique. Il les enchaine à un rythme tranquille. Puis il soulève la jupe de Chipinette, lui caresse les fesses avec la culotte blanche. Il passe sa main sous la culotte pour tâter la chaleur de ses fesses. Au vu du sourire, il semble satisfait. Puis il recommence sa douce mélodie douce à son oreille. Chipinette se tortille de temps en temps mais elle essaie d’encaisser sans rien dire. Le père lui dit :

• Savez-vous Chipinette comment est donnée une vraie fessée ?
• Non mon père, dit-elle alors qu’elle sait très bien ce qu’il veut qu’elle dise
• Allez, je suis sur que vous le savez, donc je vais taper fort jusqu’à ce que vous me le disiez
• Euhhh svp mon père, je ne vois pas ce que vous voulez que je dise
• Mais si, provocatrice comme l’êtes, vous le savez et vous refusez de le dire, donc une dernière chance : une fessée se prend comment ?
• Euhhh ben déculottée, répond Chipinette
• Et bien voilà, c’est exact donc votre culotte va tomber immédiatement
• Oh non mon père, pas cela, svp
• Allez taisez-vous, vous la méritez cette fessée déculottée

Le père passe deux doigts dans l’élastique de la culotte de Chipinette et la fait glisser doucement mais alors doucement jusqu’aux genoux, il pose sa main sur les fesses, elles sont un peu rouges et chaudes. Il lève la main et ………