Bonjour à vous qui pénétrez sur mon blog Mi-ange/Mi-démon. Tout d’abord, pour les personnes âgées de moins de 18 ans, merci de cliquer sur la petite croix rouge en haut à droite et BYE.

Bon maintenant que nous sommes entre adultes, je vous laisse découvrir ce blog. J’ai la chance de jouer dans le monde de la fessée, avec deux hommes, un que j’appelle « mon chenapan » et un autre qui est mon Educateur. Si j’ai fait ce blog, c’est pour vous faire partager la complicité que je vis avec l’un comme avec l’autre.

Vous trouverez donc des récits de l’éducation de mon chenapan, de mon éducation par mon Educateur, de fessées que j’ai reçues ou données avec d’autres personnes. Il y a aussi des récits tirés de mon imagination comme un long récit sur la vie au pensionnat, Aline et Thierry et d’autres.

J’ai essayé de classer cela par sujet et que j’alimenterai régulièrement. J’espère que vous vous y retrouverez et aurez plaisir à y revenir. Merci pour votre visite et n’oubliez pas les commentaires, cela fait toujours plaisir.

lundi 20 mai 2013

La vie dans le pensionnat... 2ème épisode

Les deux filles se rendent compte qu’elles sont en plein dans le chemin, et qu’il faut qu’elles sortent rapidement d’ici avant de se faire prendre et subir la même chose que notre pauvre Sœur. Elles font demi-tour et vont se cacher derrière le grand chêne bicentenaire et laissent passer la délégation de religieuses avec Mère Supérieure qui ferme ce groupe. Elle regarde derrière elle et elle fixe le grand arbre comme si elle devinait que quelqu’un était caché derrière. Les filles n’osent plus respirer. La Mère se retourne avec un petit sourire. Puis elle repart vers l’internat.


Les sœurs partent toutes se coucher, et l’histoire ne nous dira pas ce qu’il s’est passé sous les couvertures cette nuit là comme à chaque fois qu’une d’entre elles se fait fesser.
Les deux demoiselles rentrent doucement dans leur dortoir et se souhaitent bonsoir avant d’aller rêver de tout ce qu’elles venaient de voir. Aline sent son bas ventre appeler sa main, elle est très excitée par ce qu’elle a assisté ce soir. Elle n’avait jamais vu pareil spectacle.

Elle aimerait bien être à la place de la religieuse mais une fessée pareille, cela doit être douloureux. Elle se caresse sous la couette jusqu’au plaisir. Elle étouffe ses gémissements dans son oreiller. Chipinette entend les bruits étouffés et rit en partant dans le même plaisir. Elle est contente, Aline, sa super copine, a le même fantasme qu’elle. Dans sa tête commencent à surgir des idées plus folles les unes que les autres, comment faire pour se faire fesser ainsi ? Mais le sommeil l’emporte avant qu’elle puisse trouver une solution à son envie.

Mère supérieure est allée dans son bureau en rentrant du donjon et regarde l’écran de son ordinateur. Elle ouvre la page de surveillance des dortoirs et voit qu’il manque deux filles. Le détecteur de poids sous le matelas est en alerte. Deux filles ne sont pas dans leur lit. Elles regardent si quelqu’un est dans les toilettes, personne. Elles auraient pu avoir envie d’aller uriner. Puis elle regarde dans la cuisine, personne aussi. Elle avait donc raison, deux des élèves ont assisté à la punition de la sœur. Alors qui dort dans ces deux lits ? Aline et Chipinette, cela n’étonne pas du tout la Mère Supérieure. Elle sait depuis qu’elles sont inscrites, qu’elle allait avoir du fil à retordre avec ses deux là. Aucune élève n’a connu le donjon depuis qu’elle est ici mais elle croit que cela va se faire très bientôt.
Mère Supérieure convoquera ces deux petites curieuses demain mais avant elle va aller dormir et se faire un petit plaisir aussi comme toutes les sœurs ayant assisté à la punition.

Le lendemain matin, la Mère Supérieure demande à la secrétaire d’aller chercher Aline et Chipinette. Les deux demoiselles arrivent très vite. Elles rentrent dans le bureau et se mettent en position réglementaire comme l’exige le règlement, c'est-à-dire, debout, les bras dans le dos, les jambes légèrement ouvertes, la tête bien droite. La Mère Supérieure fait le tour des jeunes filles et leur demande si elles connaissent la raison de leur convocation. Elles font signe que non de la tête. La Mère Supérieure leur dit sèchement :

-      Ce n’est pas une façon de répondre Mesdemoiselles

-      Non Ma Mère, répondent-elles en chœur

-      Alors je vais vous poser une seule question, à chaque mauvaise réponse, votre punition augmentera, suis-je claire ?

-      Oui Ma Mère

-      Alors où étiez-vous hier soir vers 22 h ? demande la Mère

-      Dans mon lit, répond Aline

-      Moi aussi ma Mère, dit Chipinette

-      Mauvaise réponse, deuxième réponse, je vous écoute

Les deux filles échangent un regard en coin et répondent qu’elles ne comprennent pas.
La Mère Supérieure leur parle d’un chêne bicentenaire au fond du jardin, d’un donjon.
Aline répond :

-      Ah oui ma Mère, vous avez parlé du donjon à la sœur hier en cours.

-      Très bien, et vous n’avez pas eu l’idée de la suivre ?

-      Oh non ma Mère, répondent elles de nouveau

La Mère supérieure, une baguette à la main, passe derrière les deux filles et leur donnent à chacune, un coup cinglant par-dessus leur jupe.
 
 
 
Les filles sursautent et poussent un cri et regardent la Mère d’un air indigné.

-      Vous baissez immédiatement les yeux Mesdemoiselles, vos mensonges sont inacceptables. Je vais vous expliquer pourquoi je sais que vous n’étiez pas dans votre lit hier soir. Il y a des détecteurs de poids pour surveiller la présence de toutes les pensionnaires et vos lits étaient vides hier soir de 20h30 à 22h30. Vous n’étiez ni aux toilettes, ni en cuisine, nulle part.

-      Mais c’est inadmissible cela ma Mère, vous nous espionnez, je proteste haut et fort, s’insurge Chipinette

-      Insurgez vous, répond la Mère en claquant de nouveau les fesses de Chipinette

-      Aieeee, vous n’avez pas le droit, je vais prévenir mes parents.

-      Tout à fait, répond Aline, c’est inadmissible

-      Regardez ces feuilles, jeunes demoiselles, ce sont des autorisations d’utiliser tous les moyens à ma disposition pour vous éduquer correctement en allant même jusqu’au châtiment corporel si besoin.

 
 
Les deux filles prennent les feuilles et lisent en se recroquevillant sur elles-mêmes de plus en plus. Leurs parents leur avaient bien fait ce méchant tour. Ils allaient le payer très cher à leur retour.

La Mère Supérieure est très satisfaite de ce petit tour qu’elle fait à ces deux insolentes. Cela leur a rabaissé leur caquet.

-      Maintenant passons aux choses sérieuses, puisque la punition d’hier vous a tant plu, je vous y attends cet après-midi à 14h. Vos camarades seront présentes ainsi que toute la communauté religieuse. Vous recevrez 40 claques fesses nues pour Aline et 60 pour Chipinette pour avoir osé me répondre.

-      Oh non ma Mère, vous ne pouvez pas faire cela, cela doit être interdit dans les textes. Vous ne vous rendez pas compte de la honte que cela va nous donner, dit Chipinette

-      Ma Mère, s’il vous plait, si on vous demande pardon à genoux, là de suite, ou même une fessée entre nous dans votre bureau, ce serait bien aussi. Dit Aline. Et puis pourquoi Chipinette a plus de claques que moi, je suis solidaire avec elle.

-      Pas de souci Aline, vous en recevrez 60 aussi. Et ce sera dans le donjon avec tout le monde ! vous pouvez disposer et je ne veux plus rien entendre sinon je double.

Les deux jeunes filles sortent du bureau de la Mère, complètement abattues, une fessée de gamine devant tout le monde, c’est la honte !

6 commentaires:

  1. Qu'elles vicieuses ces bonnes soeurs! Chipinett, c'est tellement réel! Il parait que vous avez passé quelques années dans un pensionnat dans l'uniforme de collêgienne. Qu'elle est la part de réalité et qu'elle est la part de fiction? J'adore ces récits coquins.

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  2. J'ai toujours su que les religieuses avaient la main leste , j'en ai d'ailleurs fait aussi les frais......
    Mais à cet âge là , j'étais loin de penser qu'elles étaient aussi viscieuses.

    Très beau récit Chhipinette , la suite..........................

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  3. Merci Edel, je cherche de belles images pour colorer le récit! et je le mets aussitôt!!

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  4. Bel esprit de solidarité de la part d'Aline qui réclame son dû au même titre que Chipinette. La mère supérieure aurait peut-être pu valoriser cette initiative en mettant les deux à 50.

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  5. J'étais en pensionnat, enfant. Je n'imaginais pas que les sœurs pouvaient penser à ces choses-là ! Je suis trop trop choquée lol.
    Bon, demain, la suite....

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